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Exobiologie : de l'origine de la vie à
la vie extraterrestre
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Plan du site |
L'actualité
scientifique
Avertissement
: Vous trouverez dans cette partie des informations parues
sur le net ou dans la presse concernant cette étude pluridisciplinaire
qu'est l'exobiologie. Il va de soi que ces informations ne constituent
pas une "vérité établie", cela
n'existant pas en science. De plus, il faut garder un esprit critique
face à ces informations qui sont publiées avec un
effet d'annonce. Comme dans la presse traditionnelle, il ne faut
pas accepter les faits tels qu'ils sont présentés.
Cela est encore plus vrai en science où l'internet permet
de faire circuler l'information très rapidement, avant
qu'elle soit publiée dans des revues a referee (c'est-à-dire
avec un comité de scientifiques validant le contenu par
l'examen de la méthodologie et des calculs dont découle
l'objet de l'article). Voir aussi cet
article d'Antoine Danchin (Dir. de recherche au CNRS, prof.
à l'Institut Pasteur).
30 juin : Le sel de l'océan martien
29 juin : La vie n'aime pas se
regarder dans un miroir
27 juin : L’eau martienne s’est moins
évaporée qu’on pensait
22 juin : Europe peut offrir des
conditions idéales au développement d'une forme de vie
22 juin : La NASA confirme l’existence
de sources d’eau sur Mars
21 juin : Une source d’eau sur
Mars
16 juin : Erice, le temple sicilien
de la science
16 juin : L'espace est sucré
15 juin : Le lézard aux pattes
collantes
9 juin : Pris dans la toile des
origines de la vie
9 juin : De l’eau salée plus vieille
que la Terre
9 juin : Une météorite renfermerait
de l'eau d'origine extraterrestre
5 juin : Au début était le gras
Archives : Mai   Avril   
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Septembre
Le
sel de l'océan martien
L'analyse chimique d'une météorite martienne prouve que la
composition de l'ancien océan martien, qui recouvrait jadis une
bonne partie de l'hémisphère nord, est similaire à celle de l'eau
de mer.
Source : Astro
Geoman
La
vie n'aime pas se regarder dans un miroir
Un flot de lumière dans un champ magnétique provoquerait
un excédent d'un des deux énantiomères d'une molécule, ces deux
formes miroir l'une de l'autre.
Source : Infoscience
L’eau
martienne s’est moins évaporée qu’on pensait
Si Mars est aride, ce n’est pas parce que toute l’eau s’est
évaporée. En fait, de nouveaux calculs démontrent que la majeure
partie de l’eau martienne s’y trouve toujours, quelque part dans
le sol.
Source : Cybersciences
; Astro
Geoman
Europe
peut offrir des conditions idéales au développement d'une
forme de vie
La friction entre les blocs de glace présents à la surface
de la lune jovienne Europe, peut créer des poches d'eau liquide
et, pourquoi pas, permettre l'apparition d'une forme de vie
primitive.
Source : Astro.Geoman.net
La
NASA confirme l’existence de sources d’eau sur Mars
La NASA confirme, photos à l’appui, l’existence de ravins
récemment creusés par des torrents d’eau liquide. Cette eau
s’évapore trop vite pour former des lacs, mais semble s’échapper
de sources souterraines.
Source : Cybersciences
; Astro
Geoman
Une
source d’eau sur Mars
Stupeur dans les milieux scientifiques : il y aurait
un plan d’eau liquide sur Mars, en saison chaude du moins.
C’est ce que révèlent des clichés sensationnels pris par
la sonde Mars Global Surveyor.
Source : Cybersciences
Erice,
le temple sicilien de la science
Au Centre de culture scientifique Ettore Majorana,
les spécialistes des glaces extraterrestres croisent
ceux des grains de poussières interstellaires. Et
les discussions vont bon train.
Source : Infoscience
L'espace
est sucré
Un sucre simple, qui entre dans la fabrication de divers
composés organiques essentiels à la vie, vient d’être découvert
dans un nuage de poussière interstellaire. Un coup de pouce pour
l’apparition de la vie.
Source : Cybersciences
; Astro
Geoman
Le
lézard aux pattes collantes
Le Gecko, lézard tropical défiant les lois de la gravité,
a enfin livré le secret de son agilité à une équipe de biomécanistes
de l'université de Californie (Etats-Unis). Ce reptile, qui escalade
murs et plafonds sans le moindre effort, est doté de pattes aux
propriétés adhésives particulièrement étonnantes. Chacun de ses
membres est recouvert d'environ cinq cent mille poils minuscules,
appelés "setae", dont chaque extrémité est subdivisée en quatre
cents à mille petites "spatules". Pour la première fois, les scientifiques
ont réussi à mesurer les forces s'exerçant sur un seul "seta"
: celles-ci sont dix fois plus importantes qu'ils ne les avaient
estimées. Par ailleurs, ils ont pu déterminer que chaque seta
établit, avec le support sur lequel se trouve l'animal, des liaisons
moléculaires de courte portée, connues sous le nom de forces de
Van der Waals. Ce serait de cette manière que les pattes du Gecko
adhèrent à des surfaces aussi lisses que du verre poli.
Source : Nature,
via Infoscience
Pris
dans la toile des origines de la vie
Des filaments vieux de plus de trois milliards d'années
pourraient être les microfossiles des toutes premières communautés
microbiennes vivant près des sources hydrothermales.
Source : Infoscience
De
l’eau salée plus vieille que la Terre
Zag, une météorite tombée au Maroc en 1998, contient
des cristaux de sel qui se sont formés lorsque de l’eau s’est
évaporée sur un astéroïde il y a 4,57 milliards d’années.
La Terre n’existait pas encore à l’époque.
Source : Cybersciences
Une
météorite renfermerait de l'eau d'origine extraterrestre
Des chercheurs de l'université de Manchester et du Muséum
d'histoire naturelle de Londres ont découvert, dans une météorite
retrouvée en 1998, à Zag au Maroc, des traces d'eau qui serait
d'origine extraterrestre. L'équipe britannique, dirigée par James
Whitby, a mis en évidence dans les cristaux de sel, appelés "halites",
la présence d'eau en quantité infinitésimale (à peine dix microns).
La possibilité que celle-ci puisse provenir de la Terre a été
écartée, l'analyse des cristaux ayant révélé une grande quantité
de xénon-129, un élément qui se forme suite à la disparition de
l'iodine-129. Or cette dernière n'était présente qu'aux débuts
du système solaire et n'existe plus actuellement sur Terre. De
plus, Whitby et son équipe ont pu estimé l'âge de la formation
des halites à quatre milliards et demi d'années, soit deux millions
d'années après la naissance du système solaire. Selon cette découverte,
des conditions favorables à la vie auraient donc pu apparaître
beaucoup plus tôt que les scientifiques ne le pensaient.
Source : Science,
via Infoscience ; Astro
Geoman
Au
début était le gras
Et si la vie s’était d’abord assemblée à partir de lipides
? Une simulation informatique fascinante montre comment des
molécules complexes peuvent croître, se diviser et muter comme
des bactéries.
Source : Cybersciences
; Astro.Geoman.net
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